SPECIMEN
Par le Dr Elias Abdelatif
Ophtalmologue
Jeune ophtalmologue ayant rejoint l’équipe de l’hôpital de Toulon Sainte Musse,
le Dr Elias Abdelatif (spécialisé en segment antérieur et chirurgie des paupières)
vous propose quelques conseils pour
protéger votre vue.
une bonne vue
Eté comme hiver, l’air frais est indispensable à une bonne santé oculaire. Chauffage et climatisation modifient la teneur de l’air en eau ce qui n’est pas sans conséquence pour le confort oculaire.
Pour éviter toute irritation de la surface oculaire, s’aérer en plein air plusieurs fois dans la journée est souhaitable.
Une bonne hydratation est indispensable au bon fonctionnement oculaire, tant pour hydrater sa surface que pour le métabolisme neuro-rétinien.
Une bonne hygiène de sommeil est également réparatrice pour la fonction visuelle.
Le bon fonctionnement de la macula nécessite l’assimilation de certains pigments contenus en grande quantité dans les légumes verts : chou vert, épinards, brocoli, roquette et chou blanc contiennent de la lutéine et de la zéaxanthine qui sont essentielles pour la rétine.
Ces pigments dérivent du bêta-carotène, cela signifie que l’adage est vrai : manger des carottes est également bon pour les yeux.
La lumière UV met nos yeux à rude épreuve, par temps ensoleillés comme par temps couvert. Afin de protéger la peau des paupières qui est la peau la plus fine du corps et le globe oculaire, une bonne protection UV est nécessaire.
L’exposition solaire participe à de nombreuses pathologies oculaires connues comme la DMLA et la cataracte.
Mieux prévenir que guérir.
Les yeux secs sont souvent dus à une insuffisance de clignement oculaire, qui engendre une évaporation du film lacrymal associé à une diminution de la lubrification de la surface oculaire par la fermeture palpébrale.
Cette sécheresse se traduit par un inconfort au niveau oculaire d’intensité variable, notamment à l’origine de douleurs et de photophobie (gêne à la lumière).
Les écrans inhibant ce réflexe de clignement, il faut penser à cligner des yeux et à faire des pauses d’écrans régulièrement (se fixer toutes les deux heures minimum).
SPECIMEN
Jeune ophtalmologue ayant rejoint l’équipe de l’hôpital de Toulon Sainte Musse, le Dr Elias Abdelatif (spécialisé en segment antérieur et chirurgie des paupières) vous propose quelques conseils pourprotéger votre vue.
Par le Dr Elias Abdelatif
Ophtalmologue
Eté comme hiver, l’air frais est indispensable à une bonne santé oculaire. Chauffage et climatisation modifient la teneur de l’air en eau ce qui n’est pas sans conséquence pour le confort oculaire.
Pour éviter toute irritation de la surface oculaire, s’aérer en plein air plusieurs fois dans la journée est souhaitable.
dormir suffisamment
Une bonne hydratation est
indispensable au bon
fonctionnement oculaire,
tant pour hydrater sa
surface que pour le
métabolisme neuro-rétinien.
Une bonne hygiène de sommeil
est également réparatrice
pour la fonction visuelle.
Le bon fonctionnement de la macula nécessite l’assimilation de certains pigments contenus en grande quantité dans les légumes verts : chou vert, épinards, brocoli, roquette et chou blanc contiennent de la lutéine et de la zéaxanthine qui sont essentielles
pour la rétine.
Ces pigments dérivent du bêta-carotène, cela signifie que l’adage est vrai : manger des carottes est également bon
pour les yeux.
du soleil
La lumière UV met nos yeux à rude épreuve, par temps ensoleillés comme par temps couvert. Afin de protéger la peau des paupières qui est la peau la plus fine du corps et le globe oculaire, une bonne protection UV est nécessaire.
L’exposition solaire participe à de nombreuses pathologies oculaires connues comme la DMLA et la cataracte.
Mieux prévenir que guérir.
Les écrans inhibant ce réflexe de clignement, il faut penser à cligner des yeux et à faire des pauses d’écrans régulièrement (se fixer toutes les deux heures minimum).
Les yeux secs sont souvent dus à une insuffisance de clignement oculaire, qui engendre une évaporation du film lacrymal associé à une diminution de la lubrification de la surface oculaire par la fermeture palpébrale. Cette sécheresse se traduit par un inconfort au niveau oculaire d’intensité variable, notamment à l’origine de douleurs et de photophobie (gêne à la lumière).